Plus malin que le Diable-Napoleon HILL:
Plus malin que le Diable : un éveil spirituel face aux ténèbres de l’âme
Il est des livres qui ne se lisent pas, mais qui se reçoivent comme des révélations. Plus malin que le Diable, écrit par Napoleon Hill en 1938 et publié à titre posthume, en fait partie. Derrière sa forme de dialogue saisissante entre l’auteur et une entité qui se prétend être « le Diable », se cache une œuvre profondément spirituelle, un appel à se libérer des chaînes invisibles qui enferment notre âme.
Quand le Diable s’exprime, nos peurs parlent en nous
Hill ne convoque pas ici une figure démoniaque caricaturale. Le Diable qu’il interroge est l’allégorie vivante de nos peurs, de nos conditionnements, de tout ce qui nous éloigne de notre mission d’âme. Il se nourrit de notre confusion, de nos habitudes sans conscience, et surtout de la dérive — ce flottement intérieur qui nous fait vivre sans but ni foi véritable.
Vers une conscience éveillée
Le propos de Hill n’est pas de créer la peur, mais de l’éclairer. Il dévoile les pièges subtils par lesquels l’obscurité s’installe dans nos vies : distractions constantes, pensées limitantes, renoncements silencieux. Et il propose une voie lumineuse — celle de la pensée claire, de la discipline intérieure, du lien avec une puissance supérieure, qu’il ne nomme pas mais dont la présence transparaît dans chaque page.
Un livre pour ceux qui cherchent la lumière au cœur des ténèbres
Plus malin que le Diable